L’enfant terrible des lettres japonaises, suicidaire et toxicomane, nous montre ici un autre visage. Le voyage de Dazai à Tsugaru, son pays natal, se présente comme un retour de l’enfant prodigue, en quête d’amour et d’amitié. Souvenirs d’enfance, rencontres, paysages et vagabondages s’entremêlent pour composer un texte inclassable et souvent lumineux qui, par sa simplicité familière, évoque une lettre écrite à un ami. |