Celui que la critique salua comme le dernier homme de lettres animé de l’esprit de révolte était aussi un grand maître de l’imaginaire. Qualités qui se manifestent de façon éclatante dans ces deux récits, Le Faucon, aux confins d’une science-fiction qui ne manque pas d’extravagance, et Les Asters, allégorie poétique qui se situe vers la fin du XIe siècle. « Un livre de toute beauté » (Diane de Margerie, Le Figaro), tel un chant parfaitement pur et libre, né de la rencontre des ténèbres et de la lumière. |